Les rues principales du Canada ont subi un stress important tout au long de la pandémie de COVID-19, car les gens sont restés chez eux et la fréquentation a considérablement diminué. les gens sont restés chez eux et la fréquentation a considérablement diminué. Bien que toutes les rues principales aient été touchées, chacune d'entre elles a connu une trajectoire spécifique depuis le début de l'année 2019. Certaines ont connu des baisses plus marquées Certaines ont connu des baisses plus marquées que d'autres au début de la pandémie, tandis que d'autres ont rebondi plus rapidement les années suivantes.
CUI a effectué une analyse statistique pour déterminer quelles caractéristiques des rues principales ont la plus forte corrélation avec leur niveau de résilience. corrélation la plus forte avec leur niveau de résilience. Nous avons identifié deux points clés : premièrement, les rues les plus résilientes de 2019 à 2022 sont celles qui desservent une population principalement locale. les rues les plus résilientes de 2019 à 2022 sont celles qui desservent une population majoritairement locale. locale ; deuxièmement, la présence d'espaces verts a renforcé la résilience des rues principales tout au long de la pandémie.
Ces associations présentent des caractéristiques géographiques claires. Les rues principales situées dans les centres-villes et à proximité de ceux-ci ont connu les plus fortes baisses et les plus faibles reprises. les centres-villes ont connu les baisses les plus fortes et les reprises les plus lentes. Le travail à domicile et la réduction des voyages d'affaires et du tourisme ont frappé les centres-villes le plus durement, et les rues principales en ont beaucoup souffert. ont beaucoup souffert. Certaines de ces tendances s'étant enracinées, de nombreuses rues principales des centres-villes n'ont pas encore retrouvé leur niveau d'avant la pandémie. n'ont pas complètement retrouvé leur niveau d'activité d'avant la pandémie. Les rues principales des banlieues et des petites Les rues principales des banlieues et des petites villes ont eu tendance à connaître des ralentissements moins sévères et des reprises plus rapides. Dans certains cas, les rues principales Dans certains cas, les rues principales ont dépassé les niveaux de fréquentation d'avant la pandémie, généralement dans les villes et les quartiers où le taux de travailleurs à domicile est plus élevé. où le nombre de personnes travaillant à domicile est plus élevé.
La plateforme Mesurer les rues principales (qui fait partie du programme Initiative de recherche sur les connaissances de Logement, Infrastructure et Collectivités Canada) a été développée par l'Institut urbain du Canada en partenariat avec Environics Analytics et Open North. Environics Analytics et Open North.